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France Nouvelle 47

Blog sur le rôle des femmes durant la Révolution - Classe de 47 - Collège des Fontainettes - Saint-Aubin-en-Bray

Les Femmes sous l'Empire

Leurs métiers parmi l'armée:

Cantinières: Les cantinière ne faisaient que donner à manger aux soldats. Parfois, elles faisaient concurrence aux vivandières en vendant de temps en temps de la nourriture.

Blanchisseuses: Elles ne faisaient que laver le linge des soldats. Il y en avait quatre par bataillon et deux par escadron. Elles devaient suivre les soldats. Pour pouvoir porter leur matériel, elles avaient le droit à un cheval. Généralement, ce sont les femmes des soldats; elles ont une carte de sécurité qui justifie leur présence et donc leur métier.

Vivandières: Les vivandières vendaient de la nourriture, des boissons et parfois des ustensiles aux soldats. Comme pour les blanchisseuses, elles devaient être quatre par bataillon et deux par escadron. Elles avaient aussi une carte de sécurité qui prouve qu'elles font bien parties de l'armée. Elles avaient le droit à une charrette tirée par deux chevaux. Les vivandières et les blanchisseuses avaient une amende -voir pire- quand elles étaient absentes lors de l'appel. Si les vivandières vendant des choses volées ou faisaient pire, elles étaient sévèrement punies. Néanmoins, les vivandières étaient très importantes lors de la guerre, et elles étaient protégées par l'armée. Elles étaient un peu comme des mères pour les plus jeunes soldats vue qu'elles pouvaient les soigner.

La plus célèbre des vivandières était surnommée Marie Tête-De-Bois. Elle épousa un grenadier en 1805 et eu un enfant avec lui. Son mari et son fils moururent tous les deux en 1814. Alors que Marie voulait mettre à l'abri le cadavre de son fils, elle reçu une balle en pleine tête. Elle en reçu une seconde alors qu'elle était au sol. Un grenadier agonisant lui avait dit pour rigoler qu'elle était laide ainsi. Elle aurait rétorquer qu'elle mourrait fière et veuve.

Prostitués: A cette époque, les prostitués étaient nombreuses. La plupart le devenait pour avoir à manger, les autres étaient des professionnelles. Elles suivaient de près les soldats, voir à entrer dans les camps pour leur proposer directement leurs services. Elles étaient surnommées les « grisettes ». De temps en temps, les soldats se mariaient avec une grisette. Apparemment, plus de 2000 femmes étaient enceintes la même année.

Les femmes soldates: Elles étaient peu répandu, vue que la loi interdisaient aux femmes d'être soldates quand « les armes sont des choses de citoyen, et c'est donc relié au vote » donc interdit aux femmes. Mais il y a quand même une une femme soldate nommée Marie-Thérèse Figueur. Elle est devenue soldate grâce à son oncle qui était canonnier. Elle a beaucoup changé d'armée et de camps, et même de pays. Elle finit par ouvrir une table d'hôte pour les soldats et elle finit par se marier avec un ancien frère d'arme.

POUTRAIN Mathilde

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